La blockchain Terra a repris ses activités après une interruption d'environ neuf heures, alors que les validateurs traçaient une voie pour sortir de leur crise en cours.
La blockchain a été interrompue au bloc 7607789 un peu après 3h00 UTC ce vendredi (13), vers 00h7607790 GMT. Les blocs 7607791 et 11 ont repris leurs activités vers 27hXNUMX UTC.
Après avoir repris le blockchain, Terraform Labs, la société responsable de l'écosystème Terra, a publié un message sur Twitter avertissant que les validateurs de réseau ont désactivé les échanges en chaîne et que les protocoles de communication inter-blockchain (IBC) ont été fermés. Il a en outre encouragé ses utilisateurs à « lier les actifs hors chaîne comme bETH à leurs chaînes natives ».
La blockchain Terra a repris la production de blocs. Les validateurs ont décidé de désactiver les échanges en chaîne et les canaux IBC sont désormais fermés. Les utilisateurs sont encouragés à connecter des actifs hors chaîne tels que bETH à leurs chaînes natives. Remarque : le pont Wormhole est actuellement indisponible », a écrit Terraform sur Twitter.
La blockchain Terra a repris la production de blocs.
Les validateurs ont décidé de désactiver les échanges en chaîne et les canaux IBC sont désormais fermés.
Les utilisateurs sont encouragés à relier les actifs hors chaîne, tels que bETH, à leurs chaînes natives.
Remarque : le pont Wormhole est actuellement indisponible.
— Terra (UST) 🌍 Propulsé par LUNA 🌕 (@terra_money) 13 mai 2022
Au moment de l'arrêt, le jeton LUNA était au prix d'environ 0,008 $ et le TerraUSD (UST) était à 0,19 $. Au moment de mettre sous presse, les actifs sont désormais au prix de 0,00003 $ et 0,16 $ respectivement, selon les données du CoinMarketCap.
Ces dernières heures, certaines rumeurs ont circulé sur internet concernant la récupération des jetons LUNA et UST, comme par exemple le GAM Les investissements, en provenance de Suisse, paieraient 3 milliards de dollars, ce que la société a démenti ce vendredi matin (13), affirmant qu'un article publié hier (12), comprenant des citations du PDG de Gam, était faux.